Plus d’avantages VRF. L’avenir des bâtiments durables est donc clair.
Qu’elle soit motivée par la réglementation ou les valeurs des parties prenantes, la durabilité est une priorité plus importante pour de nombreux propriétaires de bâtiments aujourd’hui, mais elle est rarement le seul facteur décisif. La popularité croissante du VRF peut provenir de sa capacité à en faire plus pour les propriétaires et les occupants des bâtiments.
La personnalisation assure le confort des occupants. Les systèmes VRF permettent plusieurs points de consigne spécifiques à l’utilisation des occupants et aux préférences de confort individuelles. Plutôt que de maintenir un réglage de température moyenne dans l’ensemble du système, le VRF permet à chaque occupant de choisir. Par exemple, un employé peut régler son bureau à 65 ° F tandis que son voisin sélectionne 72 ° F. Les individus peuvent également avoir le contrôle de la vitesse du ventilateur et de la direction du flux d’air pour un confort vraiment personnalisé.
Une plus grande flexibilité de rénovation permet d’améliorer plus facilement la durabilité des bâtiments existants. Les systèmes DRV sont plus compacts et nécessitent moins de conduits que les équipements conventionnels. De plus, leur empreinte au sol plus petite signifie qu’ils nécessitent moins de modifications aux façades des bâtiments, ce qui les rend idéaux pour les propriétaires et les promoteurs qui souhaitent maintenir l’intégrité des bâtiments historiques.
Ils sont silencieux. Des niveaux sonores de fonctionnement plus faibles signifient que l’équipement ne dérangera pas les clients à l’intérieur des chambres. Il maintient également les espaces extérieurs environnants à l’abri des bruits mécaniques perturbateurs, ce qui les rend plus adaptés à une utilisation à proximité d’équipements générateurs de bénéfices comme les restaurants sur les toits ou les espaces de divertissement.
Ils sont électriques. Le réseau devient plus vert. En 2022, le solaire et l’éolien devraient ajouter plus de 60 % de la capacité de production à grande échelle au réseau électrique américain (46 % de l’énergie solaire, 17 % de l’éolien). [7] Le chauffage électrifié tire parti des avantages en matière de durabilité de l’électricité produite à partir de sources d’énergie plus propres. De plus, l’électrification du chauffage est l’une des plus grandes étapes pour réduire l’utilisation directe de combustibles fossiles dans les bâtiments. Aux États-Unis, 13 % des émissions de GES sont causées par l’utilisation directe de combustibles fossiles pour le refroidissement, le chauffage et la cuisson. [8] À mesure que nous nous dirigeons vers un réseau entièrement renouvelable, les bâtiments électrifiés seront mieux préparés pour l’avenir de l’énergie propre.
Et ils sont économes en énergie. La technologie de pompe à chaleur au cœur des systèmes VRF est intrinsèquement économe en énergie. Au lieu de l’eau ou de l’air, ils utilisent un réfrigérant pour déplacer la chaleur dans un bâtiment. Les capacités de contrôle avancées des systèmes VRF permettent de moduler le réfrigérant envoyé à chaque zone en fonction de la demande basée sur l’occupation, ce qui réduit la quantité d’énergie qui peut être gaspillée inutilement en chauffant ou en refroidissant inutilement les espaces.
VRF aide les communautés et les organisations à atteindre leurs objectifs de durabilité. Les services publics, les États, les villes, les agences et les organisations à but non lucratif ont publié un flux constant d’études et de rapports sur la façon dont l’électrification stratégique est le meilleur moyen d’atteindre des objectifs ambitieux de réduction des émissions de carbone. Des recherches menées par la Vermont Energy Investment Corporation (VEIC) pour le compte de l’Autorité de recherche et de développement énergétiques de l’État de New York (NYSERDA) ont montré des réductions d’émissions de GES allant jusqu’à 41 % pour les grands immeubles de bureaux plus anciens équipés de systèmes DRV. L’équipement inclus dans l’étude a démontré les performances de base du système DRV et n’incluait pas les modèles les plus efficaces ou l’activation du BAS-enabled qui sont possibles aujourd’hui. Des économies d’énergie supplémentaires et des réductions des émissions de GES sont possibles grâce à des équipements plus récents conçus pour résister aux climats froids et à des ratios d’efficacité énergétique intégrés (IEER) et des cotes COP plus élevés. [9]